PRÉSENTATION :
L'HYDROGOMMAGE et l'AEROGOMMAGE sont des procédés dérivés du sablage.
Le gommage est un procédé de nettoyage par micro-abrasion, obtenu par la projection en basse pression (de 0,5 à 5 bars), à travers une buse de sablage adaptée au support traité, des éléments suivants :
• L'air qui véhicule le granulat jusqu'à la buse de projection. Son volume et sa pression de sortie vont influer sur le rendement et l'état de surface.
• Un granulat aussi neutre et écologique que possible dont la dureté devra être adaptée au support à traiter et à l'état de surface recherché.
• L'eau (hydrogommage) qui sera pulvérisée pour diminuer poussières et projections. Son action adoucit aussi l'effet abrasif du granulat. L'action combinée de ces trois éléments avec un réglage adapté de la pression de travail permet de nettoyer la plu ces encrassées en limitant l'abrasion au strict nécessaire.
La différence entre l'hydrogommage et l'aérogommage
L'importance de ce procédé est économique et surtout ÉCOLOGIQUE. Le terme « aérogommage » est utilisé pour qualifier une projection sans eau. S'il arrive assez couramment que l'environnement d'un chantier n'autorise pas l'utilisation de l'eau, il est utile de vérifier si cette appellation ne masque pas simplement l'incapacité du matériel pour un gommage avec adjonction d'eau (hydrogommage) souvent obligatoire en milieu urbain... L'aérogommage peut cependant suffire pour des utilisations spécifiques (métaux ferreux, bois ect...)
L'aérogommage et l'hydrogommage les avantages sont nombreux.
Hydroggommage : L'abrasif projeté est entouré d'eau pour apporter une finesse dans le résultat et un confort de travail (minimum de désagréments).
* L'intégrité du support est respectée.
* Ne nécessite aucun produit chimique.
* Pas de silice libre (cancérigène). Uniquement des produits écologiques. (sur devis)
* 5 à 10 fois moins de déchets. * Respect de l'environnement et des utilisateurs en limitant les dégagements de poussières.
* Mise en oeuvre rapide et efficace.
* Nombreux domaines d'application.
